CODE 46 en VOD
- De
- 2004
- 90 mn
Nous sommes dans un futur où le langage universel mélange le français, l’espagnol et l’italien à une base d’anglais, où les humains clonés, aseptisés, vérifiés, vivent la vie qu’on veut bien les laisser vivre. William Geld se rend à Shanghaï pour mener une enquête sur des vols au sein de Sphinx, une firme fabriquant des laissez-passer, denrée précieuse qui se vend très...
- Science-fiction
- Grande-Bretagne
- Tous publics
1 MIN AVANT
Dans un futur plus ou moins lointain, où les humains sont clonés et où leur vie sexuelle est réglementée par le code 46, un homme rencontre une femme. Réalisé en 2003 par Michael Winterbottom, sur un scénario de Frank Cottrell Boyce, Code 46 n’est jamais sorti en salles, en France. Cette histoire d’amour futuriste bénéficie pourtant d’un casting alléchant puisque les rôles principaux y sont tenus par Tim Robbins et Samantha Morton et qu’on y retrouve même, dans un petit rôle, notre Jeanne Balibar nationale. La délicieuse actrice anglaise Samantha Morton est née à Nottingham, le 13 mai 1977. Elle quitte l’école à treize ans pour intégrer la Central Junior Television Workshop où elle étudie pendant trois ans. En 1991, à l’âge de quatorze ans, elle fait ses débuts à la télévision et travaille énormément pour le petit écran, avant d’être découverte par Woody Allen qui la dirige en muette amoureuse du guitariste de jazz, Sean Penn, dans Accords et désaccords. Dès ces débuts fracassants, elle est nommée pour l’Oscar du meilleur second rôle. Après quelques personnages secondaires, elle tient successivement, en 2002, le rôle titre de Morven Callar de l’Ecossaise Lynne Ramsay et celui, prédominant, de la «precog» Agatha, qui aide Tom Cruise à se sortir du destin qu’on lui a fabriqué dans le génialissime Minority Report de Steven Spielberg. On a vu carrière plus mal lancée ! Elle alterne ensuite les petits films comme In America de Jim Sheridan ou le formidable Expired premier long métrage de Cecilia Miniucchi qui a fait le bonheur de nombreux festivals de par le monde mais n’est jamais sorti en France. De Lassie (de Charles Sturridge, en 2005) à Synecdoche New York (de Charlie Kaufman, en 2008) en passant par l’excellent Control (d’Anton Corbij, en 2007), elle a prouvé que la qualité des rôles et l’ambition originale des projets présidaient à ses choix.
Dans le même genre vous pouvez trouver THE ISLAND DE MICHAEL BAY (2006) ou encore BLADE RUNNER DE RIDLEY SCOTT (1982) .