Troisième film d’Alexandre Coffre après les comédies
Une pure affaire et
Eyjafjallajökull ou autrement dit le volcan, ce qui sera plus simple pour moi et bien plus agréable pour vous,
Le père noël fait le choix total du conte. Un conte de noël dans la pure tradition où cette fois le bonhomme à la barbe blanche n’a rien d’une ordure, ou presque.
Antoine a 6 ans, croit dur comme fer au Père noël et souhaite le rencontrer pour faire un tour sur son traineau. Alors la veille du 25 décembre, c’est un peu la surprise pour le petit garçon quand ce dernier tombe sur son balcon. En vrai, le père noël, ici, c’est un voleur déguisé dans le traditionnel costume rouge et blanc pour aller voler les bijoux dans les appartements vides ou endormis. Et alors qu’il essaye de se débarrasser du gamin, ce dernier a bien l’intention de l’accompagner dans son œuvre.
Faussement naïf, cette histoire de noël crée un duo aussi improbable qu’attachant avec un petit garçon pour qui croire au Père noël n’est pas seulement une affaire d’âge mais presque une nécessité pour faire face à une réalité bien trop violente pour ses 6 ans. Et Alexandre Coffre de nous donner l’occasion de découvrir un Paris majoritairement vu d’en haut en se baladant de toit en toit.
Dans le même genre vous pouvez trouver SUPER NOËL DE JOHN PASQUIN (Là aussi, le père noël n'est pas tout à fait lui-même.) ou encore LE MIRACLE SUR LA 34E RUE DE GEORGE SEATON (Cette fois, c'est l'inverse, c'est le père Noël qui doit prouver son identité!).