PACIFIC RIM 2 : UPRISING

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Vous qui croyiez que la menace Kaiju s’était estompée et que les Jaegers seraient éternellement là pour nous protéger… Eh bien vous vous trompiez ! Alors d’accord, pour les non initiés les phrases que je viens de prononcer sont aussi incompréhensibles qu’un épisodes de “Ch’tis contre les marseillais à Montluçon” mais pour ceux qui connaissent l’univers de “Pacific Rim”, c’est la promesse d’une très bonne nouvelle : le retour des robots géants lancés au cinema par Guillermo Del Toro.

Si le surdoué et oscarisé réalisateur mexicain était aux commandes du premier volet en 2013, il a cette fois laissé le pilotage à l’américain Steven S. DeKnight. Dans le scénario, les Jaegers ressortent des placards pour affronter les Kaiju, méchants aliens bien décidés cette fois à éradiquer l’espèce humaine.

Un combat titanesque va commencer, mené par une nouvelle génération de pilotes de robots notamment John Boyega, dans un deluge d’effets spéciaux et d’hommages cinématographiques en tout genre, allant de “Godzilla” à “Jurassic Park” en passant évidemment par “Transformers”…

 
Dans le même genre vous pouvez trouver TRANSFORMERS (Les robots géants sont d'incroyables personnages de cinéma et donnent à voir d'incroyables scènes d'action dans ces deux films référence...) ou encore INDEPENDENCE DAY RESURGENCE (Décidément, les aliens ont de le suite dans les idées : même une défaite cuisante ne les empêche pas de retenter leur chance pour asservir le Terre...).

Dans la longue carrière des robots de cinéma, avouez que ceux de la saga “Pacific Rim” en jettent quand même question boulons, rivets et autres pistons. Il faut bien avouer que ces machines de destructions très très massives ont bénéficié des dernières innovations en matière d’effets spéciaux pour apparaître aussi rutilantes à l’écran. Pour les producteurs du film, c’était une question d’honneur : impossible de sembler moins fringuants que l’autre grande épopée robotisante hollywoodienne, j’ai nommé “Transformers”. En 5 films à ce jour, Michael Bay a poussé à son summum l’art de rendre les machines plus humaines que les humains, les dotant de sentiments et d’expressions qui alternent la puissance, la joie, la douleur ou la colère…

Tout cela est l’aboutissement d’un très long chemin, entamé quasiment dès l’origine du cinema. Méliès en personne avait imaginé des créatures articulées encore très artisanales mais déjà bluffantes de réalisme. En 1927, Fritz Lang dans “Metropolis” fait du personnage de Maria une heroïne à part entière, femme fatale et métallique dont la silhouette fut calquée sur celle d’une star du muet, Brigitte Helm. En 1951 et 56 dans “Le jour où la Terre s’arrêta” et “Planète interdite”, les deux robots Gort et Robby ont marqué des millions de spectateurs.

Mais les décennies reines en la matière sont les années 70 et 80. Rendez-vous compte : R2D2 et Cispeo dans la saga “Star Wars”, Ash et les répliquants dans “Alien” ou “Blade runner” de Ridley Scott mais aussi les implacables ”Terminator” ou “Robocop” ont fait de ces machines des créatures emblématiques auxquelles le public s’est attaché. Un phénomène que “Matrix”, “I Robot” ou “Iron Man” n’ont fait qu’amplifier, jusqu’à en arriver donc à “Transformers” et “Pacific Rim”, superproductions peuplées de machines géantes dont les aventures explosives façon jeu video régalent les amateurs de sensations fortes et de science-fiction…

Cela fait maintenant dix ans que les Jaegers ont mis fin à la guerre, en refermant la brèche du pacifique. Dix ans de paix bien méritée, sans la moindre menace de Kaijus. Pourtant, malgré tout cela, le monde tarde à se reconstruire, et nombreux sont les jaloux qui préfèrent ...

ENIFIN !!! Ah là là, "Pacific Rim: Uprising"....mais qu'est ce que je l'ai attendu avec méga impatience cette suite !! Je n'ai malheureusement (et honte à moi !!) pas découvert "Pacific Rim" premier du nom du talentueux Guillermo en salle à sa sortie en 2013...ce que j'ai ...

Ayant vu le premier film dernièrement, j'avais hâte de découvrir celui-ci malgré qu'il ne soit pas réalisé par Guillermo Del Toro (mais il reste le producteur). D'habitude quand je vais voir un film, je vais le voir avec l'idée qu'il ne sera pas forcement meilleur que son ...