RUBY, L'ADO KRAKEN

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Ruby Gillman a les préoccupations d’une adolescente de son âge : s’intégrer au mieux au sein de de son lycée, pouvoir aller au bal de fin d’année… Rien ne la distingue particulièrement de ses copines, si ce n’est qu’elle doit respecter impérativement l’interdiction imposée par ses parents de ne jamais se baigner dans l’océan.

Bien évidement, Ruby va finir par se retrouver dans l’eau interdite. Et là, elle découvre qu’elle est la descendante d’une lignée de reines kraken, des créatures extraordinaires qui vivent dans les profondeurs marines. Autre surprise de taille, une des élèves de son lycée est en fait une sirène !

Autour de la question de l’identité, Ruby, l’ado kraken invite à suivre les aventures d’une héroïne qui se révèle dotée de super pouvoirs tout en gardant une sensibilité d’ado. Avec sa galerie de personnages hauts en couleur, le dessin animé joue volontiers la carte de l’humour. Notamment dans ses dialogues :  « les sirènes ont souvent les cheveux gras !» lâche à un moment la grand-mère de Ruby.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver VICE-VERSA (Un autre film d'animation sur une crise d'adolescence) ou encore LA PETITE SIRÈNE (Le look du personnage de la sirène Chelsea s'inspire clairement d'Ariel, l'héroïne du film de Disney).

Et si l’Ursula de La Petite sirène version Disney était une « gentille » et Ariel la « méchante » ? C’est d’une certaine manière ce que propose le scénario de Ruby, l’ado kraken. Kirk DeMicco, réalisateur également des Chimpanzés de l’espace, n’aime rien tant que de créer la surprise. « Traditionnellement, le kraken est dépeint comme une créature monstrueuse, une entité à craindre et à éviter à tout prix. Mais dans ce film, nous avons voulu envisager les krakens comme des protecteurs des océans aussi puissants que bienveillants. De même, nous avons voulu renverser l’image traditionnelle des sirènes pour envisager cette mythologie avec un regard différent plus complexe et nuancé ».

Bien que situé dans un univers imaginaire, Ruby, l’ado kraken explore les questionnements caractéristiques de l’adolescence : le doute, l’acceptation de soi-même, la volonté de s’intégrer à un collectif… « Je pense que les créatures mythologiques nous permettent d’explorer certaines vérités fondamentales de l’expérience humaine», souligne Kirk DeMicco.

Visuellement, l’univers de Ruby, l’ado kraken se distingue par un choix de formes et de couleurs très affirmé. La direction artistique a été assurée par Pierre-Olivier Vincent, qui a collaboré par ailleurs à Souris City ainsi que Dragons et qui compte parmi les illustrateurs de la fameuse Bibliothèque verte. Vincent a développé une esthétique kaléidoscopique et créé un univers tout en rondeur pour les personnages comme pour les objets. Il a pensé la ville d’Oceanside comme un récif corallien stylisé. Et dans ce décor aux formes arrondies, à l’aspect tubulaire, les revêtements des bâtiments intègrent des motifs ondulés, ce qui les rend plus doux. En matière d’animation à proprement parler, le clan kraken se différencie nettement des humains. Les corps des Gillman s’illustrent par leur grande élasticité. Pour traduire cette fluidité des kraken les animateurs se sont en effet inspiré des mouvements des pieuvres lorsqu’elles glissent dans l’eau…

Après "Les Croods" chez Dreamworks, Kirk DeMicco rejoint Universal Pictures pour raconter les aventures une adolescente presque normale. En effet, Ruby est une descendante d'une grande lignée de reines guerrières Kraken, des monstres marins issus de légendes scandinaves. ...

Alors que le studio Dreamworks Animation revient après Le Chat Potté 2 en 2022, deux nouveaux long-métrages sont prévus pour cette année 2023, Les Trolls 3 (que personne n’attend parce que les deux premiers sont déjà un cauchemar visuel) et Ruby l’Ado Kraken. Malgré ...

Le film est bien du coup il a 7 mais l'histoire était à ça mais à ÇA d'être géniale et de raconter un truc genre super beau et émouvant sur l'acceptation des gens différents et vivre avec le passé mais ils ont pas fait ça et c'est trop frustrant mais l'histoire reste ...