Parce que c’est une oeuvre étouffante sur l’amour maternel poussé à l’extrême, avec un Prix d’interprétation féminine à la Mostra de Venise bien mérité.

Parce que c’est l’histoire émouvante de trois frères qui tentent de recoller les morceaux de leur passé.

Parce que Karin Viard finit par être touchante dans la peau d'une femme que l'on voudrait dans un premier temps gifler tant elle est odieuse.

Parce que les Wachowski exécutaient leurs gammes dans le polar avant de s'attaquer à Matrix.

Parce que c’est un film majeur qui demande au spectateur de se mettre dans la peau d’un aveugle, de le suivre, de le comprendre.

Parce que le film de Melville a influencé aussi bien John Woo que Jarmusch et Winding Refn.

Parce que, dans la masse de tous les slashers produits dans les les années 80, celui-ci a eu l'indécence de devenir culte.

Parce que Robert Redford a travaillé son rôle avec Richard Helms, autrefois grand ponte de la CIA.

Seul Buñuel pouvait réaliser un film sur un groupe de bourgeois qui ne parvient pas mener à bien dîner. A le réussir et à le faire vieillir aussi bien.

Parce que cette fresque monumentale filmée depuis l’intime est l'un des plus grands chefs d'oeuvre sur la guerre du Vietnam.

Parce que c'est le premier film hollywoodien qui romance sur une passion amoureuse homosexuelle adolescente.

Parce que les Wachowski exécutaient leurs gammes dans le polar avant de s'attaquer à Matrix.

Parce que ce film réalisé par Jacqueline Audry, l’une des rares réalisatrices de son époque, est également l’un des premiers en France à évoquer ouvertement une romance lesbienne.

Parce que le fossé n’a jamais été aussi grand entre le passé et le présent, le rêve et la réalité, le but et les moyens pour cet acteur argentin qui essaie de percer à New York où il a trop d’accent pour jouer un blanc, et où il est trop blanc pour jouer

Parce que ce documentaire remonte le fil d’une carrière pas banale et haute en couleur : celle d’un catcheur mexicain travesti.

Parce que Marcelo Gomes, grand cinéaste brésilien, réalise ici son grand chef-d’oeuvre, ode aux femmes et à leur liberté.

Parce que cette comédie policière garantit un dépaysement total, et pas seulement parce qu'elle nous vient d'Islande. Si la trame suit le parcours classique du buddy movie sauce action, le film s'amuse à le détourner à grands renforts de surprises drolati

Parce qu'on ne sait jamais ce qui peut ressurgir du passé trouble que votre tendre moitié vous a toujours caché, surtout lorsque vous êtes seule, au milieu de nulle part...

Parce que Carter Smith prouve que le cinéma d’horreur indépendant a encore de belles heures devant lui.

Parce que Patrick Dewaere en moniteur de colonie (et Michel Blanc dans son 2ème rôle).

Parce que ce film d’épouvante, qui joue sur la figure du loup-garou, prouve que l’horreur naît parfois plus du son que de l’image.

Parce que comme souvent dans le cinéma de Yerzhanov, c’est un film hanté : par le passé, par des esprits qui refusent de quitter le monde des vivants.

Parce que derrière cette histoire de justice non rendue se dessine un avertissement contre la loi du plus fort.

Parce que Tarantino livre un melting-pot décomplexé sur ses influences de cinéma d'exploitation, et entame un cycle politisé sur la revanche des minorités dans sa filmo.

Parce que la vengeance de la Mariée, promise pour ce Volume 2, a un arrière-goût étonnant de regrets.

Parce que le film allie le réalisme propre au cinéma anglais à l'ultra-violence des films de gangsters.

Parce que le film de Melville a influencé aussi bien John Woo que Jarmusch et Winding Refn.

Parce que cet hommage au cinéma des 70's, offre un casting exceptionnel et une bande-son culte.

Parce que pour la première fois, Coluche, en triste pompiste, n'y faisait pas rire

Parce que ce classique du film de Kung-fu rassemble les meilleurs acteurs du genre, dont un Donnie Yen quinquagénaire en grande forme.

Parce que l’acte de naissance de la star Arnold Schwarzenegger s’est fait dans un film fondateur de la fantasy.

Parce que le premier film d'Idris Elba raconte avec intensité une histoire de vengeance et d’identité entre la Jamaïque et Londres.

Parce que Virginia Madsen est épatante en mère inconsolable que son chagrin pousse à venger son fils.

Parce que c'est une porte d'entrée aussi fascinante que percutante vers le méconnu cinéma australien des années 80.

Parce que le personnel du train utilisé dans le film s'est déplacé spécialement pour celui-ci.

Parce que derrière l’apparence d’un film noir, ce chef-d’oeuvre méconnu de Joseph Mankiewicz cache une magnifique histoire de famille et de vengeance.

Parce que c'est la première collaboration Martin Scorsese - Leonardo DiCaprio

Parce qu'Helen Hunt a reçu l'Oscar pour son rôle d'assistante sexuelle.

Parce que cet luxueux biopic de l'homme d'affaire Howard Hughes est la deuxième des six collaborations entre Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio.

Parce qu’après le succès de Frances Ha, Noah Baumbach et Greta Gerwig poursuivent leur exploration d’un New-York intime et pop.

Parce que c’est le récit sans connivence des mensonges américains ayant conduits au désastre de la guerre en Irak.

Parce que la boxe est probablement le sport le plus cinématographique qui soit !

Parce que ce film road-trip indie est devenu un succès surprise de l'année 2006.

Parce que cette chronique adolescente gorgée de soleil rappelle que l’émancipation passe parfois par de simples vacances et une rencontre décisive.

Parce que c’est une déclaration d’amour au cinéma d’exploitation des années 1970 et un hommage aux séries B que Tarantino aime tant.

Parce que la mélancolie américaine aura rarement été aussi bien filmée que par Wong Kar-wai.

Parce que ce film met en lumière les rapports troubles entre les mondes de la politique et des médias.

Parce qu’un road movie n’a jamais aussi bien porté son nom !

Parce que le film d'étudiants a couté seulement 22 000 dollars et en a rapporté plus de 220 millions au box-office.

Parce que "L'Anglais" est à la fois une série noire rageuse et un film expérimental, dont Steven Soderbergh déconstruit la narration.

Parce que cette série noire ne se prend pas au sérieux, entre les frères Coen et Quentin Tarantino.

Parce que c'est le premier film réalisé par l'acteur Vincent Gallo, qui défraya la chronique avec son deuxième long-métrage, "The Brown Bunny"

Parce que c'est la version originale et espagnole de Vanilla Sky.

Parce que quand un grand maître de l'étrange et du fantastique s'intéresse aux jeux-vidéo et questionne ses dépassements, il nous offre une oeuvre glauque et complètement fascinante.

Parce que c'est le premier film de Quentin Tarantino en tant que réalisateur et que presque tous les germes de son style sont déjà là.

Parce que cet hommage au cinéma des 70's, offre un casting exceptionnel et une bande-son culte.

Parce que Terrence Malick explore le comportement d'hommes ordinaires lors d'un conflit armé, et ainsi livre une réflexion sur la guerre.

Parce que c'est une comédie d'action, genre trop rare, mise en scène par James Cameron lui-même.

Parce que ce film culte est un peu le film-somme de Robert Redford, acteur et réalisateur.

Parce que Sylvester Stallone reprend la main, dans un moment difficile de sa carrière, en guide de montagne traquant les méchants réfugiés dans les cimes.

Parce que ce film culte des années 90 se révèle être une satire politique largement incomprise à sa sortie.

Parce qu’après Taxi Driver, cette collaboration Scorsese-Schrader explore une nouvelle fois les bas-fonds de la nuit new-yorkaise.

Parce que David Cronenberg laisse de côté le fantastique et l'horreur pour exprimer sa passion des courses automobiles.

Parce qu'Abel Ferrara revisite à sa manière "Roméo et Juliette" et "West Side Story".

Parce que le film Speed de Jan de Bont est basé sur la même idée, mais avec un bus à la place du train.

Parce que Belmondo rayonne face à Richard Anconina, et nous surprend par sa sensibilité.

Parce que cette fausse bluette en Sardaigne dévorant symbolise bien la manière très années 70 de raconter les traumatismes et le désir.

Parce que cette oeuvre méconnue est le second long-métrage de Dennis Hopper en tant que réalisateur, après le succès de Easy Rider.

Parce que le titre original en italien,"la première nuit de quiétude", renvoyait à Goethe.

Parce que Patrick Dewaere en moniteur de colonie (et Michel Blanc dans son 2ème rôle).

Parce que le film de Melville a influencé aussi bien John Woo que Jarmusch et Winding Refn.

Parce qu'il s'agit de l'un des plus grands films de gangster français.

Parce que le film est le dernier très grand de Richard Fleischer, glaçant aussi.

Parce que c’est le film référence sur le marché noir, durant l’Occupation.

Parce que sans le Django de Corbucci, pas de Tarantino, ou presque.

Parce que le paquebot du film avait déjà été utilisé pour une précédente version du Titanic.

Parce que le film a failli être refait avec Sean Connery et Michelle Pfeiffer.

Parce que ce film co-détient le record absolu de 14 nominations aux Oscars avec Titanic et La La Land.

Parce que cette oeuvre douce-amère, portée par deux monuments du cinéma italien, dépeint parfaitement l’ambiguïté de l’être humain : son égoïsme, son amour-propre, sa tendresse.

Parce que ce film réalisé par Jacqueline Audry, l’une des rares réalisatrices de son époque, est également l’un des premiers en France à évoquer ouvertement une romance lesbienne.

Parce que c'est une oeuvre choc qui a créé de vives réactions de la censure et de la critique au moment de sa sortie.

Parce que René Clément entremêle les codes du film de guerre et d’espionnage dans un docu-fiction tourné à chaud sur les braises de la Seconde Guerre Mondiale.

Parce que Niagara, pardonnez nous le spoiler, est le seul film où Marilyn Monroe meurt à l’écran.

Parce que cette comédie romantique légère et mélancolique contient l’une des scènes les plus pudiquement érotiques du cinéma français.

Parce qu’entre les dialogues de Michel Audiard, la mise en scène de Gilles Grangier et la générosité de Jean Gabin et Bernard Blier, on ne sait plus où donner de la tête.

Parce que le film d'Alejandro González Iñárritu a marqué sans que l’on s’en rende compte une bonne partie de ce que l’on peut voir aujourd’hui dans le genre histoires à tiroirs.

Parce que Taika Waititi arrive à faire rire en racontant l’histoire d’un gamin embrigadé dans les Jeunesses Hitlériennes.

Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce qu'au-delà de la fiction, c'est un véritable plaidoyer pour les vins "nature".

Parce que c'est le film qui a lancé la carrière de Gus van Sant (son premier long-métrage "Mala Noche" ne sortira en France qu'en 2005).

Parce que ce film historique multi-récompensé de Yorgos Lanthimos se révèle une satire noire et grotesque de l’aristocratie anglaise.

Parce que c’est un incontournable du film de mafia new-yorkaise, peut-être bien le plus grand film de Ferrara.

Parce que Tarantino livre un melting-pot décomplexé sur ses influences de cinéma d'exploitation, et entame un cycle politisé sur la revanche des minorités dans sa filmo.

Parce que pour son premier film, Anne Le Ny signe une histoire d'amour naissante, drôle et grave à la fois.

Parce qu'avec Tim Burton, poésie, terreur et humour s'entrechoquent toujours avec talent.

Parce que cette grande aventure burlesque rappelle le génie et la malice des albums de Tintin.

Parce que c’est peut-être l’un des plus grands films sur la famille, forcément dysfonctionnelle ici, puisque nous sommes au coeur du cinéma de Wes Anderson.

Parce que son ambiance glaciale et sombre renouvelle brillamment le genre vampirique

Parce que le film allie le réalisme propre au cinéma anglais à l'ultra-violence des films de gangsters.

Parce que ce film d’horreur interdit au moins de 18 ans à sa sortie est un classique du film de zombie italien.

Parce que c'est le film fondateur de l'oeuvre de George Romero.

Parce que ce film inspiré des nouvelles d’Edgar Allan Poe possède une atmosphère gothique extraordinaire et une scène saphique qui a fait date.

Parce que contrairement au premier opus, plus brut et choc, Nekromantik 2 adopte un ton plus contemplatif et mélancolique.

Parce que c'est un film extrême et controversé, surtout si vous aimez le cinéma underground et transgressif.

Parce que si Lucifer décide d'envahir la Terre, on découvre ici comment l'ange Michael le contrerait.

Parce que que ce terrifiant film espagnol prouve la vigueur du cinéma de genre bien au-delà d'Hollywood.

Parce que ce fut l'une des sensations du très réputé (et adoré ici chez Filmo) Fantasia International Film Festival, festival consacré au cinéma de genre.

Parce qu'il s'agit de l'unique réalisation de Gregory Widen, scénariste à l'origine de la franchise Highlander.

Parce-que, à l'ombre d'Halloween et Vendredi 13, le cinéma d'horreur des années 80 compte un autre personnage de tueur increvable jusqu'à l'absurde : le flic zombie Matt Cordell !

Parce-que William Lustig a bien retenu la leçon de toute suite qui se respecte : en faire toujours plus !

Parce que ce dernier volet clôture une trilogie géniale, s'inscrivant dans la mythologie new-yorkaise au même titre que les films de Scorsese.

Parce que la réalisatrice a découvert son actrice principale après l'avoir vu danser.

Parce que dans ce thriller prenant et subtil, la réalisatrice July Jung dirige Bae Doona à qui elle confiera à nouveau le rôle d’une enquêtrice dans About Kim Sohee.

Parce que bien que datant de 2012, le film a été tourné en pellicule 35mm.

Parce que le pitch est complètement délirant : un tueur en série se met à décapiter des réalisateurs iraniens. Sauf un...

Parce que ce film sur la guerre du Vietnam est le précurseur des chef-d’oeuvres du genre, notamment Full Metal Jacket.

Parce que cette adaptation du manga du même nom est rien de moins que le Fast And Furious hong-kongais.

Parce qu'il faut découvrir le talent et la beauté de Lou Lampros.

Parce que Sons Of Denmark est un film d’anticipation des années 2010 dont l’histoire démarre pile... en 2025.

Parce que cette exploration fantasmée en compagnie d’une actrice rappelle Mulholland Drive et Millenium Actress.

Parce que Marcelo Gomes, grand cinéaste brésilien, réalise ici son grand chef-d’oeuvre, ode aux femmes et à leur liberté.

Parce que ce portrait de l’Iran entre totalement en écho avec la situation dramatique du pays, et notamment sur la condition des femmes.

Parce que comme souvent dans le cinéma de Yerzhanov, c’est un film hanté : par le passé, par des esprits qui refusent de quitter le monde des vivants.

Pour son premier long métrage la réalisatrice Shannon Murphy a décroché le Prix Jeunes Talents de Women in Motion, un prix qui consacre les créatrices qui font avancer la cause des femmes.

Parce qu’il s’agit du premier film estonien à avoir été nommé aux Oscars (c’était en 2015).

Parce que le réalisateur Michel Ocelot ne fera pas de suite à son troisième volet, qui clôt donc magnifiquement la trilogie.

Parce qu'il faut entendre la musique de ce second volet avec Manu Dibango et Youssou N'Dour, un bonheur.

Parce que ce premier volet a eu une influence majeure sur l'animation à la française.

Parce que ce film est méconnu en France alors qu'il est diffusé à chaque Noël dans de nombreux pays.

Parce que Paul Verhoeven (à ne pas confondre avec le réalisateur hollandais homonyme) adapte une belle histoire signée Wilhelm Hauff avec beaucoup de sensibilité.

Parce que c'est la tante du réalisateur Steven Wouterlood (dont c'est le premier long métrage) qui lui a fait lire le roman d'Anna Woltz, qu'il a alors eu l'envie d'adapter.

Parce que cette comédie horrifique intitulée "Monsters Academy" ne doit pas être confondue avec "Monstres Academy", le film d'animation Pixar de 2013, qui était la suite de "Monstres et Cie".

Parce que les aventures épiques de Kara et ses amis sont inspirées par le jeu vidéo "Mini World".

Parce que les petits hollandais sont comme les petits français : turbulents mais sympas !

Parce que les cours sont en plein camping !

Parce que pour le dernier volet de la trilogie : tous en scène !

Parce que ce thriller de science-fiction, film de genre venu d’Allemagne, ne laisse aucun répit au spectateur.

Parce que la boxe est probablement le sport le plus cinématographique qui soit !

Parce que le film de Xavier Legrand filme en fait le 1er chapitre de son Jusqu'à la garde

Pour Jack le ramoneur... et les multi trucs !

Parce que derrière l’apparence d’un film noir, ce chef-d’oeuvre méconnu de Joseph Mankiewicz cache une magnifique histoire de famille et de vengeance.

Parce que c'est la première collaboration Martin Scorsese - Leonardo DiCaprio

Pour y trouver Jeanne d'Arc et François 1er

Pour l'éclipse de soleil en pleine lune !

Parce que non seulement le film de Scola ne vieillit pas (il est classique), mais son actualité s’épanouit (il est moderne).

Parce que le film fut un des deux de Soderbergh à concourrir pour l'Oscar la même année 2001

Parce que Joseph L. Mankiewicz est un des maîtres du thriller intime, utilisant le mensonge et la manipulation comme ressorts de ses intrigues implacables.

Parce que ce classique du film d'animation érotique a gagné le Cristal du court métrage d'Annecy en 2012

Parce qu'on y entend Sheila (et qu'Ozon y provoque!)

Parce que la musique est signée par le groupe d'électro M83, dont l'un des membres est le frère du réalisateur Yann Gonzalez.

Parce qu'on y voit Maurice Pialat dans un petit rôle de photographe.

Parce que le court de Ladj Ly on le sait sera développé plus que brillamment en long.

Parce qu'on découvrait dans le film (signé Marina de Van!) Gaspard Ulliel à 12 ans

Parce que le film était le dernier court de François Ozon avant qu'il passe au long

Parce que le film de Xavier Legrand filme en fait le 1er chapitre de son Jusqu'à la garde

Parce que les premiers désirs restent les plus importants d'une vie

Parce que bien avant Party Girl, les réalisatrices recevaient le César du Court Métrage

Parce que le film reçut le César ( du meilleur court métrage!) en 2014

Parce que la réalisatrice Alice Diop interroge et déconstruit la question de la masculinité au coeur des cités de banlieue parisienne.

Parce que la véritable inspiratrice du film (fantastique) est bel et bien la Bretagne

Parce que ces quatre minutes d'humour noir ont été inspirées par l'expérience de Milgram, qui prouve à quel point des individus ordinaires peuvent commettre des actes horribles.

Parce que le film est une fiction mais intègre d'authentiques images de la grossesse de la réalisatrice et actrice Lucie Borleteau, filmées par son amie comédienne Sara Rastegar.